autopartage : une nouvelle mobilité prometteuse

POINTS FORTS

autopartage : une nouvelle mobilité prometteuse

En matière de mobilité, notamment urbaine, les alternatives à la voiture individuelle se multiplient. Ces nouvelles mobilités sont souvent vécues comme des moyens de s’émanciper de la possession automobile et de son cortège de contraintes.

  • mobilité partagée
  • véhicule électrique

l’auto-partage revêt plusieurs formes

L’autopartagemet à disposition d’usagers des véhicules en libre-service, 24/7,pour la durée et la destination de leur choix. Il y a plusieurs types d’autopartage. 

En boucle : la restitution du véhicule s’effectue à la station de départ voire en concession comme c’est le cas avec le service Mobilize Share.  

En trace directe : la restitution du véhicule s’effectue dans une station possiblement différente de celle de départ.  

Ces deux types d’autopartage nécessitent une réservation préalable. 

Sans station ou en « free-floating » : le véhicule est stationné dans la rue. Il peut être emprunté sans réservation et restitué sur n’importe quelle place de stationnement, en voirie et dans la zone géographique couverte par l’opérateur du service. Dans ce cadre, le client géolocalise le véhicule via une application smartphone dédiée. L’autopartage en free-floating est particulièrement adapté aux grandes villes. Zity by Mobilize en est un exemple à Madrid, Lyon et Milan. 

À ces trois formes d’autopartage s’ajoutent celle entre particuliers, souvent facilitée par une plateforme de mise en relation. 

la mobilité partagée rencontre son public

L’autopartage est un secteur en croissance, malgré un temps d’arrêt en 2020 et 2021 observé au moment de la crise sanitaire en dépit des mesures de désinfection systématique des véhicules. On compte en Europe environ 50 000 véhicules partagés, essentiellement dans 5 pays, dont 18 500 en Allemagne et 12 000 en France.

Bien sûr, si l’on y ajoute les trottinettes et les vélos en libre-service, les chiffres explosent. La mobilité partagée concerne en effet près de 400 000 « engins » en Europe, dont plus de la moitié sont des trottinettes. Berlin et Paris bénéficient du volume le plus important, et d’une densité autour de 100 « engins » partagés pour 10 000 habitants. En revanche Oslo décroche la palme en matière de densité, avec 400 voitures, vélos ou trottinettes partagés pour 10 000 habitants.

autopartager, louer une voiture, covoiturer… les différences sont nettes

La location automobile traditionnelle s’appuie sur une remise de clé en main propre via une agence. A contrario, l’autopartage met à disposition le véhicule en libre-service. Cela lui confère une souplesse particulièrement appréciée. De ce fait, le service d’autopartage est disponible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, pour des trajets de quelques minutes à plusieurs jours. Mobilize Share est un exemple de service positionné à la fois sur la location automobile traditionnelle, grâce à la densité du maillage géographique du réseau Renault, qui offre un grand nombre de points de retrait et de dépôt, et sur l’autopartage en boucle. 

Le covoiturage, quant à lui, se rapproche de l’autopartage entre particuliers, avec comme différence que le possesseur de la voiture et le « covoitureur » font le même trajet et que le propriétaire du véhicule conduit. Le covoiturage s’organise directement entre particuliers ou via une plateforme. Il peut concerner des trajets pendulaires quotidiens comme des trajets exceptionnels plus longs. Le covoiturage connaît un véritable succès, du fait de son caractère économique. La contribution financière du passager est une participation aux frais d’usage et d’entretien du véhicule. En France, on estime aujourd’hui que le nombre de trajets en covoiturage a été multiplié par plus de 3 entre 2022 et 2023 et qu’il représente près de 0,9% des trajets automobiles. 

l’auto-partage, pour qui et pour quoi faire ?

Une enquête de l’Ademe datant de 2022 en France montre que l’autopartage en boucle fermée est le plus représenté, tant en nombre d’opérateurs que de couverture territoriale. En moyenne, il concerne des trajets de moins de 5 heures et de moins de 50 kilomètres. Pour l’autopartage en free-floating, les locations sont plus courtes, soit en moyenne de moins d’1 heure et de moins de 20 kilomètres. Mais ce sont surtout les usages qui diffèrent. L’autopartage en boucle fermée concerne des motifs non contraints voire récréatifs, alors que l’autopartage en free-floating concerne plutôt des trajets du quotidien. Dans les 2 cas, ces déplacements sont principalement effectués dans l’agglomération de résidence. 

Autre information intéressante : on observe que l’usage de l’autopartage au sein d’un foyer coïncide à près de 70% avec l’abandon de la possession automobile, autrement appelée « démotorisation ». Aujourd’hui, seuls 26%des« autopartageurs»possèdent une voiture. Ils sont ainsi plus adeptes des transports en commun et des mobilités douces que la moyenne de la population. La démotorisation est-elle la conséquence du recours à l’autopartage, ou le recours à l’autopartage est-il la conséquence de la démotorisation ? Une chose est sûre : le client le plus emblématique de l’autopartage réside dans une ville, qui propose des centres d’intérêts relativement près les uns des autres et proches des habitations, qui offre des alternatives pratiques pour remplacer la voiture, telles que des transports en commun ou des pistes cyclables, voire qui découragent l’usage de certains véhicules via des restrictions de circulations, la réduction des possibilités de stationnement, etc. 

Pour autant, l’autopartage est tout aussi bien susceptible de s’appliquer aux utilisateurs hors agglomération, grâce notamment à l’utilisation à des fins privées de flottes de véhicules professionnels, mais aussi à la mise à disposition de véhicules à la sortie de magasins… De multiples possibilités sont d’ores et déjà explorées et ne demandent qu’à se développer. 

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recharge de la voiture électrique : autonomie ou charge… mentale ?

CHECK POINT

recharge de la voiture électrique : autonomie ou charge… mentale ?

Le marché du véhicule électrique est en plein boom, mais beaucoup hésitent à abandonner le monde du véhicule thermique, car ils craignent de ne pas trouver facilement à recharger la batterie de leur voiture 100% électrique. La liberté de mouvement, que représente la voiture individuelle depuis des décennies dans l’imaginaire collectif, serait-elle remise en question par l’avènement la mobilité électrique ? La crainte d’une perte de rayon d’action est-elle justifiée ou supposée ? À chacun de se faire sa propre opinion !

  • véhicule électrique

recharge électrique : des besoins à ne pas surévaluer
★ ☆ ☆

Dans de nombreux pays occidentaux, on observe que la mobilité physique stagne, voire diminue légèrement, notamment en termes de nombre de déplacements. En France par exemple, une personne effectue en moyenne 2,8 déplacements physiques par jour, dont près de 99% sont des trajets de moins de 80 kilomètres. On estime que chaque déplacement couvre en moyenne 9 kilomètres. Sur ces trajets courts, la part modale de la voiture semble avoir atteint son pic il y a une dizaine d’années, et s’établit aujourd’hui à environ 64%.

 

99% des trajets sont courts

 

Quand on sait qu’une voiture électrique comme la Zoé E-Tech Électrique a une autonomie WLTP de près de 400 kilomètres, on comprend vite que la question du rayon d’action ne se pose en réalité pas dans 99% des cas. Analyser ses habitudes permet donc de se rendre compte de ses vrais besoins de mobilité… et de chasser l’angoisse de la panne, pour reconsidérer objectivement un passage à l’électrique.

installation de borne de recharge à domicile : l’autonomie par excellence
★ ★ ☆

Et si vous aviez votre propre station-service chez vous ? C’est ce qui se passe avec un véhicule électrique. Plus de 90% des recharges de voitures électriques ou hybrides rechargeables se font à domicile ou au travail, c’est-à-dire un lieu privé dans lequel on reste stationné relativement longtemps. C’est sans aucun doute le plus pratique, mais aussi le plus économique. Le prix de l’électricité à domicile est en effet plus bas que pour les bornes de recharge de l’espace public. De plus, la recharge à domicile est potentiellement une recharge intelligente : l’application Mobilize Smart Charge prend la main sur le timing de la charge afin de favoriser l’équilibre du réseau électrique, et donc de profiter d’une électricité la moins chère et la moins carbonée possible. Ainsi, le smart charging fait rimer économie et écologie.

 

90% des recharges de véhicule électrique se font à domicile ou au travail

 

Que vous souhaitiez profiter, en tant que particulier, d’une borne de recharge à votre domicile, ou, en tant que professionnel, d’une ou plusieurs bornes sur le parking de votre entreprise, les offres de Mobilize Power Solutions ont pour objectifs un coût optimisé et une tranquillité d’esprit maximale. Tout est compris, de l’analyse du besoin de charge, à la maintenance, en passant par l’installation des bornes, afin que recharger une voiture électrique soit réellement simplissime.

borne électrique en itinérance : l’enjeu de l’accès à la recharge publique
★ ★ ★

Les déplacements de plus de 80 kilomètres, qui nécessitent donc potentiellement – davantage que les trajets courts – le recours à une recharge sur le trajet, comptent pour moins de 2% du nombre de déplacements, en France notamment. Le poids de ce besoin de mobilité est donc à relativiser. Cependant, comme la voiture assure en moyenne 73% de ces trajets longs, les utilisateurs de véhicules électrifiés sont tout-à-fait fondés à rechercher des solutions simples de recharges en itinérance.

 

73% des trajets longs se font en voiture

 

Pour répondre à cette demande, les professionnels et les pouvoirs publics s’organisent. On compte aujourd’hui environ 500 000 points de recharge publiques en Europe, et les objectifs de déploiement de nouvelles infrastructures sont ambitieux. Outre le nombre important de bornes, le l’autre enjeu est la durée courte de l’opération, afin de pouvoir recharger la batterie de son véhicule électrifié le temps d’une simple pause. Avec 200 nouvelles stations de recharge rapide, Mobilize Fast Charge prévoit d’apporter sa pierre à l’édifice.

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la voiture électrique est-elle économique sur la route ?

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mobilité urbaine : plus de multimodalité et moins d’automobiles ?

CHECK POINT

mobilité urbaine : plus de multimodalité et moins d’automobiles ?

L’urbanisation est une tendance de fond à laquelle aucune région du monde ne semble échapper. Synonyme de développement, elle charrie aussi son lot de problématiques, en termes de santé environnementale, de qualité de vie, de mobilité… Sur ce dernier point, la voiture individuelle serait-elle son meilleur ennemi ?

  • mobilité partagée
  • transport à la demande
  • véhicule électrique

les modes de déplacement au cœur de la mobilité urbaine

Comme son nom l’indique, la mobilité urbaine est l’ensemble des mobilités en zone urbaine, dans un périmètre strictement intra-muros mais aussi en petite et en grande couronnes. Elle recouvre donc des réalités diverses, que ce soit en centre-ville, en banlieue ou dans le périurbain. L’agglomération s’étend en cercles concentriques : plus le périmètre est large et plus la densité de population et d’infrastructures est faible.

De nouvelles structures territoriales se développent, qui font émerger de nouveaux besoins de mobilité et donc de nouveaux modes de transport. Si la voiture individuelle reste synonyme de mobilité, elle n’est pas l’unique solution pour couvrir les besoins économiques, sociétaux et culturels d’une population aux profils de plus en plus divers.

l’urbanisation, ses opportunités et ses défis

Depuis les années 1980 on observe, à l’échelle mondiale, une croissance du nombre et de la taille des villes. De plus en plus peuplées, les plus grandes d’entre elles concentrent les atouts économiques, politiques et culturels. La circulation des personnes, les échanges financiers et les flux d’informations sont facilités au sein de l’agglomération, mais aussi entre chacune d’elles. Parmi les métropoles, certaines exercent une influence mondiale comme New York, Londres, Tokyo et Paris. On voit même émerger de véritables mégalopoles, vastes régions urbanisées qui relient des mégapoles entre elles.

Aujourd’hui, 56 % de la population mondiale vit en ville, et les villes génèrent plus de 80 % du Produit Intérieur Brut mondial. Cette proportion s’accroit régulièrement. Les études prévoient un doublement du nombre de citadins d’ici 2050. A cet horizon, on considère que quasiment 7 personnes sur 10 dans le monde vivront en milieu urbain.

Le pouvoir d’attraction des villes est immense, mais il ne fait pas oublier les problématiques associées : pollution atmosphérique, canicules à répétition, insécurité, etc. Pour les habitants, les enjeux de l’urbanisation se situent aussi au niveau de la qualité de vie la plus élémentaire, tant les nuisances dues à la densité de population sont potentiellement nombreuses. Pour y faire face, les décideurs et les citoyens œuvrent pour repenser la ville en profondeur.

une seule mégapole pour une variété de besoins de mobilité

Au sein d’une grande ville, les modes de vie sont très différents selon qu’on habite plutôt dans le centre ou plutôt en périphérie. Pour prendre l’exemple de la mégapole d’Île-de-France, les trajets qui concernent Paris intra-muros – que ce soit pour le point de départ, pour le point d’arrivée ou pour les 2 – représentent 30% des trajets de la région, mais ne pèsent que pour 10% des trajets en voiture de la région. La part modale de la voiture y est donc 3 fois moins importante que dans le reste de la mégapole. Cette tendance est confirmée par l’analyse de la possession automobile. A Paris intra-muros, 60% des ménages n’ont pas de voiture ; en petite couronne ils sont 24% à ne pas en posséder ; alors qu’en grande couronne, ils ne sont que 9%.

Les centre-villes bénéficient d’une densité d’infrastructures particulièrement pratique au quotidien. Les distances entre chaque point d’intérêt sont donc relativement courtes. Si l’on ajoute à cela le fait que ces zones sont efficacement pourvues en transport en commun, on comprend mieux pourquoi les citadins ont peu besoin de prendre la voiture pour des trajets qui concernent le centre-ville. De plus, avec la multiplication des restrictions de circulation, notamment les Zones à Faibles Emissions, la voiture individuelle – surtout thermique – n’y est plus la bienvenue.

Cependant, cette désaffection pour la voiture individuelle est à relativiser. En Europe, les centre-villes ont tendance à se vider de leur population, leur fréquentation correspondant de plus en plus à des usages récréatifs, culturels ou touristiques, et de moins en moins aux usages traditionnels de l’habitation de long terme. Avec 2,1 millions d’habitants à ce jour, Paris a perdu près de 123 000 habitants en 10 ans. Les Parisiens qui quittent la capitale s’installent en majorité dans la région Île-de-France, d’abord en petite couronne puis dans la grande couronne. En valeur absolue, le nombre de personnes concernées par l’absence de voiture individuelle décroît à mesure que le nombre de de personnes concernées par l’usage d’une voiture individuelle croît.

la mobilité urbaine et la mobilité partagée

Les besoins de mobilités étant très différenciés, les solutions de mobilité le sont aussi. Les villes innovent et deviennent de véritables laboratoires de la mobilité. L’une de ces nouvelles mobilités urbaines émergeantes est sans conteste l’autopartage, notamment l’autopartage sans stations de retrait ni de dépôt, à savoir l’autopartage en free-floating.

Le terrain de jeu de l’autopartage coïncide en effet avec ces zones de démotorisation que sont les centre-villes, car on y est de moins en moins enclins à posséder une voiture. Ces lieux ont plusieurs caractéristiques. Tout d’abord la densité de commerces et de services, qui permet à chacun de ne pas avoir un besoin crucial de la voiture au quotidien ; mais aussi la densité des équipements qui facilite l’accès à la voiture partagée, que ce soit à pied, à vélo ou en transport en commun. Les lieux de démotorisation favorables à l’autopartage ont également pour particularité d’offrir une variété d’alternatives à la voiture individuelle, notamment pour les déplacements domicile-travail, grâce au maillage des transports en commun et/ou au réseau de pistes cyclables. Enfin, il s’agit également de lieux où trouver à se garer est un vrai défi. L’absence de stationnement aisé et abordable près de chez soi ou de sa destination, est de nature à décourager la possession automobile et à encourager de nouvelles mobilités urbaines comme l’autopartage.

Et quand on ne souhaite pas conduire soit même, que ce soit pour attraper un train ou rentrer de soirée, le taxi ou le véhicule avec chauffeur est une autre alternative à la voiture individuelle. Autopartage, transports en commun, marche, vélos et autres mobilités douces… les solutions sont variées et facilement accessibles aux citadins.

le péri-urbain et des modes de transport à réinventer

Si la possession d’une voiture individuelle reste d’autant plus incontournable qu’on s’éloigne du centre-ville, des alternatives apparaissent, qui contribuent à réduire le nombre de véhicules dans les foyers multi-motorisés, dans les zones péri-urbaines comme dans les petites villes ou les campagnes. Il s’agit de la location automobile de courte durée, de l’utilisation de pools de voitures de services pour des besoins privés, de l’autopartage entre particuliers ou encore du covoiturage. Mais ça n’est pas tout.

Pour répondre aux soucis des automobilistes en matière de gestion de leur véhicule au quotidien, d’entretien et de revente, il est aujourd’hui possible d’opter pour un schéma différent, qui privilégie l’usage à la possession : celui du Vehicle-as-a-Service (VaaS). Ce schéma est vertueux du point de vue de l’optimisation des ressources, puisque fondé sur l’économie circulaire. Il est également facile à vivre et dans l’air du temps : chacun profite d’un véhicule et d’un panel de services associés, en fonction de ses besoins du moment et sans engagement. Une nouvelle approche de l’automobile, au-delà de l’objet « voiture ».

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bornes de recharge de véhicules électriques : où et quand charger sa voiture ?

bornes recharge electrique
NOTICE

bornes de recharge de véhicules électriques : où et quand charger sa voiture

Pour faire le plein de carburant d’une voiture thermique, les stations-service font partie du paysage familier, notamment péri-urbain. Leurs architecture, signalétique et implantation les rendent repérables et accessibles par tous les automobilistes. Et pour faire le plein d’énergie d’une voiture électrique ou hybride rechargeable ? Les solutions sont à la fois plus diverses et moins visibles. Les bornes de recharge électrique ont autant de caractéristiques qu’elles ont de types de localisation, et donc de typologies d’usage… Suivez le guide.

  • véhicule électrique

1) stations de recharge sur voie rapide : profiter d’une pause sur le parcours

Quand elles sont installées sur des voies rapides, comme des autoroutes ou des grands axes, les stations de recharge offrent une puissance élevée, d’au moins 43 kW, adaptée à une pause de courte durée. Bientôt, le réseau de recharge ultrarapide Mobilize Fast Charge proposera 200 nouvelles stations à travers l’Europe… L’angoisse de la panne n’est plus de mise ! Les bornes de recharge rapide peuvent charger les voitures électriques en moins de trente minutes, soit de quoi passer d’une batterie quasi-vide à une batterie quasi-pleine. Le temps pour le conducteur, lui aussi, de recharger ses batteries avant de reprendre la route. Notons que le coût de l’électricité ainsi délivrée est supérieur à celui d’une recharge plus lente, car le prix du kW/h est intimement lié à la puissance du courant.

Les infrastructures de recharge rapide délivrent généralement un courant électrique continu (DC), et les véhicules électriques conçus pour faire de la route sont équipés de chargeurs DC. Par exemple, grâce à la puissance de recharge élevée permise par leurs chargeurs DC, la recharge des Renault E-TECH Électrique Mégane et Zoé, s’insère dans le déroulé naturel du trajet. Départ en vacances ou déplacement professionnel au long cours, les grands trajets routiers sont ponctués de pauses qui permettent de se reposer et de se restaurer. Sur autoroute, la charge rapide de Mégane ou de Zoé E-TECH Électrique met à profit ces arrêts pour récupérer, en quelques dizaines de minutes, une autonomie suffisante pour atteindre la prochaine étape ou la destination finale.

2) bornes de recharge électrique dans les centres commerciaux : charger sa voiture en temps masqué

Pourquoi ne pas faire le « plein » de sa voiture électrique en même temps que son « plein » de courses ? Cela est d’autant plus séduisant que l’utilisation des bornes de recharge situées sur les parkings de grandes surfaces et de centres commerciaux est bon marché, voire gratuite. Pour de nombreuses chaînes de magasins, la recharge des voitures électriques s’annonce comme le « nouveau wifi », c’est-à-dire un service incontournable pour leur clientèle au quotidien.

Les commerçants répondent déjà à cette attente, ou se préparent à y répondre, de diverses manières : avec des bornes classiques en courant alternatif (AC), généralement entre 7 et 22 kW, comme avec des bornes rapides en courant continu (DC), capables de libérer des puissances de plus 50 kW. Plus la borne est puissante et plus le rythme de recharge est soutenu pour l’automobiliste, mais plus sa mise en place est coûteuse pour l’enseigne. La puissance de chaque point de charge est donc adaptée au juste nécessaire de la durée moyenne de stationnement dans le lieu. À titre d’exemples, la Renault Mégane E-TECH Électrique récupère jusqu’à 160 kilomètres de conduite urbaine en une heure de charge sur une borne publique AC 22 kW et la Dacia Spring a besoin de moins d’une heure pour se recharger à 80% sur une borne DC 30 kW.

3) bornes de recharge pour voitures électriques en voirie : récupérer de l’autonomie à chaque stationnement

Le chiffre de 400 000 bornes d’accès public présentes en Europe est impressionnant mais cache de nombreuses disparités géographiques. En étoffant les réseaux de recharge en voirie, les collectivités territoriales jouent un rôle important dans le développement de la mobilité décarbonée. Le déploiement de ces infrastructures publiques facilite les recharges des usagers de véhicules électriques ou hybrides, notamment pour les citadins qui, à domicile, n’ont ni leur propre emplacement de stationnement, ni – a fortiori – leur propre solution de recharge. Les centres-villes disposent d’opportunités de recharge, dans la rue ou dans les parkings, fréquemment assorties d’un stationnement gratuit. De quoi mettre à profit un repas au restaurant ou une pause shopping pour recharger la batterie de sa voiture électrique. Et pour le futur, Mobilize Iléo Concept propose un aménagement urbain pour recharger son véhicule, assis à l’abri des intempéries ou de la canicule.

Les bornes de recharge de véhicules électriques que l’on trouve sur la voie publique délivrent du courant alternatif (AC) dont la puissance varie de 7 à 22 kW. Une simple pause d’une demi-heure branchée à une borne de 22 kW suffit à la Twingo E-TECH Électrique pour regagner environ 80 kilomètres d’autonomie, et la Zoé E-TECH Électrique récupère jusqu’à 125 kilomètres de rayon d’action en 2 heures de recharge sur une borne de 11 kW, pour effectuer des trajets mixtes.

4) prise renforcée ou wallbox : bénéficier d’une station de recharge à domicile

Quoi de plus agréable que de ne pas avoir à faire un détour par la station-service, ni à faire la queue pour faire le plein ? Avec la mobilité électrique, tous les lieux privés peuvent potentiellement se transformer en « station-service », que ce soit, bien sûr, le domicile dans lequel on vit, mais aussi le bâtiment de l’entreprise dans laquelle on travaille ou, pourquoi pas, la maison des grands-parents, chez lesquels on passe la journée. Si brancher sa voiture sur une prise de courant classique n’est pas conseillé, il est facile de faire installer une prise renforcée, d’une puissance de 3,2 kW, voire une borne murale, encore appelée « wallbox », capable de délivrer des puissances allant de 3,7 à 22 kW en courant alternatif (AC). Les services de Mobilize Power Solutions accompagnent les particuliers comme les professionnels dans la conception, l’installation et l’entretien de leur propre solution de recharge.

La grande majorité des recharges de voiture électrique se font à domicile, en maison individuelle ou en copropriété ; une recharge complète étant alors souvent réalisée pendant la nuit. Pour une Dacia Spring par exemple, moins de neuf heures sont nécessaires pour une charge de 0 à 100% sur une wallbox de 3,7 kW et moins de quatorze heures sur une prise domestique de 2,3 kW. La Renault Megane E-TECH Électrique, quant à elle, récupère jusqu’à 400 kilomètres en conduite mixte en huit heures sur une wallbox 7,4 kW. Outre la praticité évidente de ce mode de recharge, c’est aussi un moyen particulièrement économique de faire le plein. Quand on a toute la nuit devant soi, on peut se contenter d’une charge lente, c’est-à-dire d’une faible puissance… pour un faible coût ! De plus, la charge à domicile permet à l’automobiliste de facilement la programmer pour qu’elle se lance quand le tarif de l’électricité est le plus bas si son contrat prévoit des heures creuses. Il peut même profiter de la recharge intelligente qui ajuste le rythme de charge du véhicule à la disponibilité de l’électricité sur le réseau, de manière à consommer une énergie la moins carbonée et la moins chère possible. L’application Mobilize Smart Charge s’occupe de tout.

Mobilize propose des solutions de recharge adaptées au quotidien de chacun, que ce soit pour les particuliers et les entreprises ou pour les professionnels de la mobilité des secteurs de l’autopartage ou de la voiture avec chauffeur. De quoi faire de la mobilité électrique une évidence pour tous.

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comment la voiture électrique épouse l’évolution des nouvelles mobilités

voiture electrique
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comment la voiture électrique épouse l’évolution des nouvelles mobilités

Acheter une voiture, en profiter et l’entretenir pendant quelques années, puis en changer ? Objectivement, le schéma traditionnel de la possession automobile n’est pas toujours le plus intéressant pour l’utilisateur. Sans compter qu’il impacte négativement les ressources naturelles. Autopartage, transport à la demande, covoiturage… Des solutions émergent, qui se fondent sur l’objet « voiture », tout en dépassant le modèle de la voiture individuelle. Pour minimiser les coûts d’usage et les impacts environnementaux, les nouvelles mobilités sont essentiellement électriques.

  • mobilité partagée
  • transition énergétique
  • transport à la demande
  • véhicule électrique

★ ☆ ☆
le véhicule électrique, allié de l’autopartage, de la location automobile de courte durée et de la voiture avec chauffeur

Faire l’expérience de l’autopartage automobile, c’est bien souvent découvrir les atouts de la mobilité électrique, tant les véhicules 100% électriques sont surreprésentés dans le parc de voitures partagées. Qu’il s’agisse d’un autopartage en free floating majoritairement présent dans les grandes villes car la voirie y est dense, ou d’un autopartage avec stations de retrait et de dépôt assimilable à de la location de courte durée accessible sur smartphone, les offres d’autopartage font la part belle à la mobilité électrique. Mobilize déploie une palette de solutions de nouvelles mobilités, de l’autopartage à la location automobile de courte durée, grâce à ses offres Zity by Mobilize et Mobilize Share. Savez-vous qu’un véhicule reste garé en moyenne 95% du temps, dont un quart correspond à un stationnement hors domicile ? L’autopartage électrique met à profit ces périodes d’immobilisation, car chaque stationnement est potentiellement une opportunité pour recharger le véhicule.

Le secteur d’activité de la voiture de transport avec chauffeur, aussi, est en pleine expansion. Il devrait quasiment doubler en 10 ans en Europe. Taxis et VTC sont particulièrement représentés dans les grandes agglomérations. Ils viennent, en complément des transports en commun urbains, répondre à des besoins ponctuels de transport flexible, sûr et confortable. Les entreprises du secteur comme les chauffeurs indépendants, sont séduits par l’électrique, notamment pour des raisons de coût d’usage contenu. Mais aussi parce qu’une voiture électrique permet de circuler dans les centre-villes et les Zones à Faible Émission (ZFE) réservés aux véhicules les moins polluants. Un avantage concurrentiel certain !

★ ★ ☆
la mobilité électrique, au centre du modèle de Mobility as a Service (MaaS)

Regarder n’importe quels film ou série n’importe quand ? Écouter un album ou une playlist dans toutes les circonstances ? Rester informé via différents canaux selon les périodes de la journée ou de la semaine ? Choisir son repas et se le faire livrer dans l’heure ? Dans de multiples domaines, chacun s’habitue progressivement à tout consommer à la demande. Pourquoi en serait-il différemment pour la mobilité ? Les innovations technologiques, fondées sur la connectivité en général et l’emploi du smartphone en particulier, ouvrent le champ des possibles.

Le modèle traditionnel de la possession d’une voiture individuelle peut être perçu comme contraignant, car associé à des problématiques d’entretien, d’assurance, de parking, etc. La liberté ressentie au volant de son véhicule pourrait être éclipsée par la charge mentale et financière supportée. La marque de Renault Group dédiée aux nouvelles mobilités, Mobilize, répond à cette problématique. La voiture – bien sûr 100% électrique – est conçue comme l’élément central de l’offre, sans pour autant que l’achat soit le seul mode d’acquisition. La micro-citadine Mobilize Duo en sera un exemple dès 2024. La voiture est surtout indissociable d’une panoplie de services complémentaires, qu’ils soient liés à l’assurance, à l’entretien, à la charge du véhicule, etc. Le package peut être commercialisé sous la forme d’un abonnement et s’adapte en fonction de l’évolution des besoins de l’utilisateur, pour une flexibilité maximale.

★ ★ ★
la voiture électrique, symbole de l’automobile propre

Le véhicule électrique est donc le plus adapté aux nouvelles mobilités, qui remplacent la notion de possession automobile par la notion d’usage automobile. Il ne s’agit plus de puiser dans les ressources naturelles pour fabriquer un produit, de consommer ce produit, puis de le jeter, selon le modèle traditionnel de l’économie linéaire. Le principe d’économie circulaire prend alors tout son sens. Un même véhicule servant à plusieurs personnes, les études montrent qu’une voiture en autopartage remplace 5 à 8 voitures particulières.

L’électro-mobilité est aussi intimement liée à l’écomobilité. Malgré l’impact environnemental de la production de sa batterie, une voiture électrique qui roule en Europe émet, tout au long de son cycle de vie, quasiment 3 fois moins de gaz à effet de serre qu’un véhicule thermique équivalent. La mobilité électrique est donc un levier non négligeable de la lutte contre le réchauffement climatique.

Zéro émission lors du roulage, hors pièces d’usure, la voiture électrique n’émet pas de CO2… et son moteur n’émet pas non plus de polluants ! Cet atout est particulièrement appréciable en ville, où densité du trafic et densité démographique se superposent. Les modélisations montrent que l’électrification de 20% du parc roulant en centre-ville y fait baisser de 45% la concentration en composants volatiles et de 25% la concentration en particules fines. Le véhicule électrique a donc un rôle à jouer sur le plan environnemental comme sur le plan de la santé publique, notamment en matière de mobilité urbaine.

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chap. 2 : le smartphone… vers une mobilité toujours plus durable

ARTEFACT

le smartphone vers une mobilité toujours plus durable [chap. 2]

Artefact est la série de vidéos conçue par Mobilize qui raconte la mobilité à travers ses objets.

Découvrez l’épisode centré sur ce couteau suisse des temps modernes qu’est le smartphone. Artefact nous montre comment il facilite la mobilité, mais aussi comment il l’optimise, y compris pour limiter ses impacts sur l’environnement.

  • connectivité
  • mobilité partagée
  • transport à la demande
  • véhicule électrique

 

L’épisode sur le smartphone et la mobilité se décompose en deux vidéos. Ici, dans le second chapitre, Artefact explique comment le smartphone n’est pas qu’une nouvelle boussole répondant aux besoins de mobilité de chacun. Son caractère connecté en fait un pilier de l’échange de datas, en temps réel et à large échelle. Optimiser les recharges, encourager les usages partagés… Le smartphone contribue à maximiser les bénéfices de la mobilité et à limiter ses impacts négatifs sur les écosystèmes.

 
Précédemment, dans le premier chapitre, Artefact expliquait le rôle du smartphone pour une expérience fluide de la mobilité…

le smartphone facilitateur de mobilité [chap. 1]

Le smartphone est avant tout ce petit compagnon que nous avons tous dans notre poche et dont nous ne pouvons plus nous passer. Trouver une station de recharge sur le chemin, louer ou partager un véhicule, héler un taxi ou réserver une voiture avec chauffeur… Le smartphone aide à répondre à tout type de besoin de mobilité.

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Pour promouvoir la neutralité carbone, Mobilize met la data au service de la mobilité et de l’énergie. Le digital est partout : dans les applications pour les particuliers comme dans les plateformes pour les professionnels.
Explications en chiffres !

recharges électriques : le nouveau jeu des 1 000 bornes

Plus écologique, plus économique, plus responsable : rouler en électrique est incontestablement un choix raisonnable pour se déplacer au quotidien.

loin des métropoles, quand les plus petites villes et les campagnes portent le changement

Marie Huyghe, Consultante en mobilité et membre de la SCOP Odyssée Création, Ingénieure de recherche chez Laboratoire CNRS-CITERES, et Anne-Lise Castel, Directrice des services de mobilité de Mobilize, vous emmènent à la rencontre de la mobilité loin des métropoles.

chap. 1 : le smartphone… facilitateur de mobilité

ARTEFACT

le smartphone facilitateur de mobilité [chap 1]

Artefact est la série de vidéos conçue par Mobilize qui raconte la mobilité à travers ses objets.

Découvrez l’épisode centré sur ce couteau suisse des temps modernes qu’est le smartphone. Artefact nous montre comment il facilite la mobilité, mais aussi comment il l’optimise, y compris pour limiter ses impacts sur l’environnement.

  • connectivité
  • mobilité partagée
  • transport à la demande
  • véhicule électrique

 

L’épisode sur le smartphone et la mobilité se décompose en deux vidéos. Ici, dans le premier chapitre, Artefact explique comment le smartphone simplifie l’automobilité électrique, qu’elle soit individuelle, avec son propre véhicule, mais aussi partagée, avec une voiture en location ou en autopartage, ou encore à la demande, via l’utilisation d’un taxi ou d’un véhicule avec chauffeur. Accéder à une mobilité sur-mesure se fait aujourd’hui d’un simple tap !

 
Vous voulez en découvrir plus ? Le second chapitre approfondira les bénéfices d’une mobilité optimisée grâce au smartphone.

le smartphone vers une mobilité toujours plus durable [chap. 2]

Le smartphone n’est pas qu’un outil pratique et confortable, qui permet à chacun de profiter de la mobilité la plus appropriée. À une plus large échelle, c’est aussi un objet connecté susceptible d’optimiser les trajets, les flux d’énergie, la consommation des ressources, etc.

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recharges électriques : le nouveau jeu des 1 000 bornes

1000 bornes
NOTICE

recharges électriques : le nouveau jeu des 1 000 bornes

Plus écologique, plus économique, plus responsable : rouler en électrique est incontestablement un choix raisonnable pour se déplacer au quotidien. C’est aussi une source de nouvelles questions. Parmi elles, celles liées aux bornes de recharge est particulièrement prégnante. Comment recharger ses batteries ? Où le faire ? Toutes les bornes se valent-elles ? Avec tout ça, on réinvente pour vous le jeu des 1 000 bornes.

  • connectivité
  • véhicule électrique

1/ Une borne ou mille bornes ?

Si vous prenez la route au volant de votre véhicule électrique, il est fort probable que la question de la disponibilité des bornes de recharge électrique sur votre itinéraire et de leur compatibilité avec votre véhicule se pose rapidement. En Europe, ce ne sont pas 1 000, mais 500 000 bornes qui sont aujourd’hui disponibles sur le territoire. Pour l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA), ces chiffres dissimulent de fortes disparités en matière de répartition géographique puisque 70% des bornes de recharge électriques sont aujourd’hui implantées entre les Pays-bas, la France et l’Allemagne. Des pays où, précisément, le développement des véhicules électriques est le plus dynamique. Mais l’important est que le coup d’envoi est aujourd’hui donné, et que ce déséquilibre se réduit progressivement.

2/ La puissance de charge, un atout-maître

Si la multiplication des bornes est encore en cours, l’offre est d’ores et déjà diversifiée en terme de puissance. Pour résumer, plus la borne est puissante, plus la recharge est rapide… ce qui signifie que les bornes sont d’autant plus puissantes qu’elles se trouvent dans des lieux de brefs passages.

Les recharges les plus classiques s’appuient sur le courant alternatif (AC). Il s’agit – de la moins puissante à la plus puissante – de la prise domestique traditionnelle de 10A/2,3 kW (courant monophasé) que l’on trouve dans toutes les habitations, de la prise domestique renforcée de 16A/3,7 kW (courant monophasé), de la borne domestique de 32A/7,4 kW (courant monophasé) encore appelée « wallbox », de la borne que l’on peut trouver dans les lieux privés comme en voirie de 16A/11 kW (courant triphasée) et de la borne publique de 32A/22 kW (courant triphasé) qui équipe notamment des parkings d’aires commerciales. Les recharges les plus rapides sont quant à elles réservées aux grands axes routiers. Les bornes délivrent alors un courant continu (DC) allant jusqu’à 400 kW, pour récupérer plusieurs centaines de kilomètres d’autonomie en 30 minutes de charge.

Côté voiture, la prise Combo, qui équipe notamment les véhicules électrifiés Renault Group, permet de se brancher à toutes les bornes, AC comme DC. Votre voiture se recharge potentiellement dès qu’elle est garée.

3/ Recharges publiques : dégainez la carte « as du volant »

Une fois sur la route, c’est avant tout les bornes de recharge publiques et ses nombreux réseaux de distribution qui vont vous intéresser. La différence entre les opérateurs réside pour le moment surtout dans les tarifs, le jeu de la concurrence contribuant toutefois à une harmonisation progressive des prix. À noter par ailleurs que de nombreux centres-villes et certaines grandes surfaces donnent accès à un stationnement gratuit à côté des bornes, voire à une recharge électrique gratuite : de quoi attirer les véhicules les moins polluants.

D’une manière générale, il peut être parfois difficile de trouver une borne disponible lorsqu’on en a besoin. Mobilize Charge Pass, c’est un peu la carte « botte secrète » du jeu des mille bornes, qui donne accès à plus de 500 000 stations de charge dans 25 pays d’Europe. Accompagnée d’une application localisant les stations de recharge disponibles sur votre trajet, c’est un véritable sésame. Au moment de la charge, elle sert à l’enclencher et à la payer à l’unité.  Vous avez déjà la carte Mobilize Visa Card pour vos paiements en France ? Qu’à cela ne tienne. Elle vous servira à régler vos recharges suivant le même principe. Continuer à jouer… alors que les autres passent leur tour !

4/ Espaces privés : vitesse limitée, mais feu vert sur les installations

Que ce soit sur le lieu de travail ou à domicile, avouons qu’un véhicule est plus souvent à l’arrêt sur une aire de stationnement qu’en mouvement sur la route. La bonne nouvelle est que ces moments sédentaires sont propices au chargement des batteries, rendant cruciale la question de la capacité de recharge dans de tels espaces privés. Que ce soit à domicile, sur un parking d’entreprise ou dans un local collectif, à titre personnel ou à destination de clients et de visiteurs, plusieurs solutions d’installation existent. Ici peu de problématique de vitesse de charge, mais plutôt la question déterminante de l’installation et du raccordement de la borne.

Mobilize a la réponse grâce à Mobilize Power Solutions, qui permet au client de passer la commande d’une solution de recharge et son installation à domicile, en même temps qu’il commande son véhicule en concession. Selon le type de point de charge choisi ainsi que l’emplacement où celui-ci sera installé, Mobilize Power Solutions calcule un prix fixe et sans surprise. Pour les professionnels, Mobilize Power Solutions apporte des solutions clé en main, du conseil à l’installation des bornes, jusqu’à l’exploitation du service de recharge et l’optimisation énergétique.

5/ Mobilize Fast Charge : jouez la carte « véhicule prioritaire »

Reste que le développement des bornes d’accès public est une condition essentielle de l’essor des véhicules électriques, appelé de ses vœux par les politiques européennes de décarbonation des transports. La Commission européenne a annoncé un objectif d’1 million de bornes installées d’ici 2025. Un objectif ambitieux qui montre que la tendance est à la multiplication du nombre de bornes d’accès public.

Un mouvement de fond auquel Mobilize participe activement avec le déploiement de Mobilize Fast Charge, un réseau de charge ultra rapide qui doit compter 200 stations de recharge en Europe d’ici 2024. Ces stations seront disponibles à proximité des autoroutes, afin de couvrir les besoins lors des longs trajets. Au-delà de l’infrastructure de recharge, Mobilize Fast Charge est une proposition complète qui intègre une gestion intelligente de l’énergie en la stockant pour la redistribuer au moment le plus propice où elle pourrait venir à manquer. Le réseau Mobilize proposera également des espaces-détente où il sera possible de jouer à des jeux de console et des zones de télétravail dotées d’un accès Wifi accessibles à ses clients. De quoi patienter utilement en attendant de faire le « plein ». Et pourquoi pas se lancer dans une partie de 1 000 bornes « in real life » cette fois-ci. À vous la main…

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